• 180 fermetures de classes, dont 102 en maternelle qui subit une saignée sans précédent, alors que la dotation du département est de 176 postes.
• Suppression de la totalité des postes PDMQDC.
• Remise en cause du cadre départemental des décharges de direction pour tous les directeurs en zone banale (et la remise en cause de la comptabilisation des postes de regroupement d’adaptation dans le calcul de toutes les décharges REP REP+ et banale)
• Fusion des postes ZIL et BD et leur transformation en postes de remplaçants devant intervenir sur un large zone d’1/5^ème du département avec une gestion exclusivement par la DSDEN.
• Projet de suppression des groupes de travail de la phase d’ajustement du mouvement et de la possibilité pour les élus du personnel d’exercer un véritable contrôle.

Quand il s’agit de l’école publique, des droits de tous qui sont menacés d’être remise en cause,… Il y a des circonstances où il faut être capable de dire clairement, nettement, sans ambiguïté…

NON !

Et pas « Madame l’Inspectrice d’Académie, un petit délai supplémentaire d’un an pour les décharges des directeurs de 12 classes et plus, et ça passera mieux ! »

Il y a des circonstances où la seule réponse raisonnable à une attaque en règle sans précédent,

c’est de décider la grève partout !

Face à une offensive sans précédent contre l’école publique et les droits et garanties statutaires des enseignants, une seule solution :

Déclenchons le Plan Particulier de Mise en Sureté de l’école publique !

Le 9 février fermons les écoles et « évacuons » parents et enseignants rue de Grenelle devant le Ministère !

Tous en grève le vendredi 9 février !

Le tract en PDF